

















Cher Toi,
J’espère que tu vas bien et les tiens également. De mon côté : c’est mieux (un moment à la fois). En marchant, en passant. En respirant du sain et du Beau. En tous lieux, dans l’être-avec d’humaineté. Un cheminement d’ascension avant tout spirituel (à partir duquel les restes de qualité sont pensés, conçus, assumés). Je vais bien, et c’est mieux (un moment à la fois)
C’est le dernier billet de ce blogue étrange, et il dit : non (à l’opération « Toile d’Araignée »). Un non définitif, non-négociable, durable. Non au but poursuivi par cette opération, non à la drôle d’idée derrière cette toute-puissance qui a (lamentablement) échoué à vouloir faire de moi le produit de .. (et je l’ignore). Si le pire ennemi de la force de [la] (toute-)puissance est le désespoir qui n’a rien à perdre : le pire ennemi de la toute-puissance (ou de la puissance), ce n’est pas le désespoir en face de lui (sur le champ de bataille qu’est l’espace mortifère) qui n’a rien à perdre, c’est elle-même et le fait qu’elle soit seule sur le champ de bataille, à livrer une guerre ainsi absurde contre une non-présence d’adversaire (cet Autre, ce soi en dehors de soi), du point de vue de spectateur situé dans l’espace de vitalité (un autre espace–temps) c’est proprement de la folie. Voilà, la folie de la toute-puissance. En-fermée dans sa propre absurdité. La folie de la toute-puissance. Elle contre elle-même (sur le champ de bataille ou dans l’arène). Spectateur : je souris, et je dis non.
Un non doux, respectueux de l’être, cœur-à-cœur. Un non à cette opération qui en a fait mortifère : toxicité et malsain. Mobilisant (sur plus d’une décennie) des ressources (diverses) importantes (des urgences d’un hôpital de la ville aux interactions avec ma fille en passant par le voisinage sans parler de tous les aspects [numériques et autres] de mon environnement) qui ces derniers temps ont épuisé leur force de réelle(s) nuisance(s), spectateur écoutant les mots-maux(-impacts) de cette mobilisation (collaborative) : j’ai souri, et j’ai dit non. J’archive (et non ne supprime) la toile d’araignée et ses composantes, voilà qui est : mieux (doux, respectueux de l’être cœur-à-cœur). Vois-tu (seulement) à quel point je vais bien, en marchant, en passant, un moment à la fois.
Un non fraternel, et je n’en veux à personne (je comprends), c’était sans doute nécessaire d’un certain point de vue et j’espère que tout ceci a satisfait ce personne qu’est (tout) ce monde. Un non qui murmure la fraternité et qui dit à tous ces proches et ces silhouettes évanescences instants d’éternité que j’ai aimés que je les aime toujours (malgré tout) et que chacun(e) aille en paix (cette belle manière de marcher, de passer, de mieux-être : un moment – de vitalité – à la fois). Un non calinours venant du bisounours (stringé, comme un être épocal au milieu – aux mille lieux ou aux lieux – de sa modernité). Un non faisant (œuvre) l’amour. Jouis-tu avec moi : ce bel effet d’ensemble
Co-opéra(c)tif
Pour ce dernier billet de ce blogue bizarre, il y a un non définitivement et durablement amour, en étant spectateur de la folie de la toute-puissance. Un non qui sourit de positivité, de progressivité. Un non (inclusif) du XXIe siècle. Un non du moment présent et d’à-venir.
Un non qui souvent rit, parce qu’il est à l’image de l’homme de mon être : micropénis. En ce sens, très audible. Agréable, plaisant, charmant. Même en étant (dans le) trou du cul [= communauté d’urbanoïdes liber.&(es) ou communauté d’ur–ban-o.ï.d.es liber.&(es)] Q. Loin du souffre et rance, de la souffrance d’être, proche du minimalisme de l’être (dilaté). Dérisoire comme une prétention de rien, quelques fois bav–art dans les expériences et expérimentations d’être, cela ne s’oublie pas : de ce non micropénis qui souvent rit, parce que très audiblement agréable plaisant charmant on s’en souvient. C’est ainsi qu’il fait œuvre (de vie)
C’est ainsi qu’il fait œuvre (dav.y), dixit Ludewic
Un non aux nuances in-nom-brables et im-probables, à l’image de mon être. C’est ce non qui archive la toile d’araignée, et suit un chemin-ement banal et ordinaire (éloigné des belles carrières, de la flamboyance, des courses de toutes sortes, des éblouissements, des brillances, du hall of fame, et tout ce que les Un[e]s et les Autres acceptent comme valeur [attribuée] de soi [finalement chose-objet que sujet de dignité humaine]), un chemin-ement misérable (c’est-à-dire de misère humaine, en proximité avec l’injustice et ses [in]visibles pour ne pas être insensible à la condition de l’être – donc de proximité du visage bien plus que du masque), un non qui archive la toute-puissance pour suivre ce chemin-ement (un peu ouest est sud nord et toutes les configurations possibles du cardinal) de l’essentiel du fondamental de l’effet d’ensemble. Vois-tu (seulement) ce non d’humaineté qui ne se réduira jamais à un produit (ou une production) et qui est chemin-ement de vie (de vitalité).. non ?.. ce n’est pas grave, puisque ce n’est pas la fin des temps.
Un non im’possible, spectateur de la toute-puissance qui ne (se) le di(t)-gère pas (hein pour-quoi comment est-ce seulement possible). Ce n’est pas grave, je suis en de-hors de son espace-temps. Et je souris, ris : je me sens (si) bien et (si) mieux.
.. Parce que c’est juste non
Un non qui (d’un certain regard) pourrait se voir tel le fait de désarmer la négativité et la toxicité de l’être et d’être, de vider le chargeur de la violence mortifère (de la toute-puissance), dans la sacralité du respect du « tu ne tueras point ». Mais, en réalité, profondément, de mon point de vue, ce non est celui d’espoir et d’espérance en l’humaineté (cette notion d’être et de l’être aux besoins vitaux de bien-mieux-être donc de progrès subtil de l’humanité – pourrait-on penser). Un non d’un autre temps, et j’ignore lequel. Un non de l’enfant en l’adulte, un peu comme mère cet enfant d’une (si) grande (ou calculée) naïveté qui s’émerveillait et s’étonnait du Beau [humain] (jamais en suspicion ou suspicieuse de culpabilité de l’Autre – qui en a tant abusé), la naïveté qui rend disponible au « woOw » de l’humaineté et la responsabilité de veiller (prendre soin de) sur cet Autre (la définition même d’être adulte et de maturité), mère ou l’enfant en l’adulte – un non au pessimisme d’être et de l’être : un espoir et une espérance dont je suis l’héritier. Non-négociable(s), cet espoir et cette espérance ne m’en me laisse(nt) aucun choix (raisonnable, lucide, véritable).
Un non d’éthique et de morale (d’un autre regard) pourrait se voir tel le fait d’un back bach to basics en sonorité de maison de vin (celle de [l’amy] wine house) : back to b(l)ack (un retour vers l’inconnu où tout est possible en optimisme d’émerveillement ou d’étonnement aux yeux bien ouverts dans cette noirceur de l’être qui n’est pas toujours obscure et ténébreuse, elle n’est pas sans lumière[s] – elle est accoutumance aux Lumières discrètes ou insaisissables à première vue). Retour au noir et en arrière : rewind to black afin de se souvenir que l’inconnu (aux contours improbables et extensifs) est une source d’espoir et d’espérance. Mère (ainsi que grand–mère et récemment père) en bande sonore, de cette éthique et morale du non, serait tous les sons et toutes les sonorités de l’être et d’être, ses musiques rythmes tempos, et pour celles et ceux qui écoutent d’une ouïe étrange : des couleurs et toutes leurs nuances. D’intelligence(s) multiple(s).
Un non juste, pour dire de justice .. un juste non
Et j’ai le sourire, le rire, regard (un peu beaucoup) bière et respiration nicotine, dentition anar(t)chiste (virant du jaunâtre à d-gueul’ass.e = anulingue), sang caféine prenant corsé (souvent corsaire) des voies menant au cœur du sujet à l’œil lune : mon corps vu.lnérable em.br(rrr)ass.e ses im-perfectibilités. H.and-dit.capé, qu’importe la pose : je tiens debout. Déconnecté de la bêt(e)-is.e humaine, mis en relation avec la beauté humaine, relation de parte–n–aire comme une co–création d’effet d’ensemble. Vois-tu (seulement) le sourire, le rire, regard, respiration, de la chose.
Non ?..
(et) Ce n’est pas la fin de l’histoire
Ayant fait le tour de la question
Des maîtres, maîtresses, ex-[s]amples, illustres-tra©tions, sens-a(c)tions, ici[mmobile] – & – là nomade (un peu bohémien.ne dans sa rapsodie)
je(u) change simplement de blogue (d’existence) : une autre expérimentation (extensive) de l’être (authentique, vulnérable, spirituel, dans un sain environnement). De l’être extensif. Ce-lui qui dit non de Liber–T. Un juste non, un non juste. Ce-Lui qui change le je(u). D’existence. Vois–tu (seulement) son sourire, rire, regard, respiration, le sujet.
NoN ..
En m(art)chant tout croche, en passant par le cercle, en orientation de point(s) ou en trait pointillé : vois et ne suis (surtout) [le] pas
.. NoN (définitivement)
À la toile d’araignée, à son dérisoire, sa folie aux importantes (considérables) ressources, en-fermée dans sa toxicité et son malsain, espérant l’avoir à l’usure, méthodes d’un ancien monde à l’agonie (processus du temps d’avant-hier et d’hier qui ne survivra pas au temps présent et d’à-venir), ne sachant plus que quoi comment faire pour (se) sortir de son espace-temps : spectateur, je souris ris et je fais œuvre (de vie) en chemin-ement banal et ordinaire anonymement une ombre singulière misérable (archivant la bêt[e)-is.e humaine). Ma fille (artistique : artisane + artiste), ma fille à l’esprit (privée de sa présence comme un moyen de pression, son instrumentalisation la réduisant à une chose-objet [de bassesse] – des miens comme un jeu pervers de violence psychologique, et toutes les justifications de l’immonde essayant de [me] convaincre d’une culpabilité mensongère) je fais œuvre de vie tel un héritage (partant de la question de l’essentiel, du fondamental, de la Beauté, construisant modestement et humblement – un moment à la fois – une idée saine de l’être réellement évolué). Je lui transmets un héritage (et j’ignore si elle le saura, mais j’ai espoir et espérance – foi en elle). Papa n’est pas un saint, papa n’est pas un monstre (même lorsqu’il jouait au monstre et loup avec toi, tu riais je rigolais, ton jeu favori, notre jeu préféré – tu t’en souviens pas, cela fait déjà trop longtemps). .. NoN (définitivement)
Voilà, l’héritage : (et) ce n’est pas la fin de l’histoire
NoN ..
Définitivement durable : une liber-T en soi
C’est ainsi qu’il fait œuvre (dav.y), dixit Ludewic
Pour un langage (inclusif) du XXIe siècle. Pour un Leader-ship (inclusif) du XXIe siècle. ..Parce que c’est : « (facteur.s) woOw »
L’essentiel, le fondamental, l’effet d’ensemble : le Beau
Voilà, l’héritage : (et) ce n’est pas la fin de l’histoire
C’est (simplement) juste non
À la toute-puissance, à la toile d’araignée, à qui j’ai laissé ses moyens de pression (ma fille, les miens, mes proches et tout ce qu’elle a cru pensé tenir pour me faire plier ou me soumettre – à son idée d’être et de l’être : à un produit ou une production, un but). Je souris, ris : je me sens (si) (en) bien et (si) (en) mieux. Et je fais œuvre de vie
En l’art-c.hi.vaent
art-c.hi.va.en-T
Définitivement durable : une liber-T en soi
C’est ainsi qu’il fait œuvre (d.av.y), dixit Ludewic
Vois-tu (seulement)
Comme c’est de (toute) beauté, propre, claire
Ce .. NoN ..
Définitivement durable : une liber-T en soi
Ce-L qui change le je(u).
Et j’espère que tu vas bien (mieux), je te souhaite d’y aller en paix, en prenant soin de toi et des tiens (j’y tiens toujours aussi particulièrement)
.. dL ..









S’émerveiller : c’est s’investir en tant qu’être (donc être disponible à : cela) [et s’investir a pour source un état d’insatisfaction] – et c’est seulement en ce sens que le surprenant ou la surprise prend un véritable sens.








Un émerveillement (au propre comme au figuré – sauf ingéniosité compréhensive / compréhensivité ingénieuse) n’est pas – dans mon propos – un éblouissement (ce trouble passager / éphémère de la vue provoqué par une trop vive lumière / luminosité), contrairement à ce dernier : il dés-aveugle. Il dé-cécite ou il est (en soi) dé-cécité. Si « émerveillement, [se comprend comme] source d’étonnement admiratif ». On ne saurait ainsi se dire émerveillé(e) (par quelque être / étant) que parce que l’on est capable de le (re)voir (qui profondément signifie que l’on s’illumine à l’existence – surgissante ou surprenante de cet être / étant ou que l’on s’illumine en sa présence et / ou l’on s’illumine du fait des effets de sa présence). En ce sens, s’émerveiller c’est d’abord un étonnement (que ce soit par l’esprit, l’émotion, le corps etc.) et l’expérience de cet étonnement (que l’on pourrait qualifier de moment).











