J’ai toujours été attiré par les femmes qui ont de la cocaïne coulant dans leurs veines.
Les petites survoltées qui m’épuisent juste en les regardant. Celles de la gesticulation qui étourdit, spirale s’enroulant autour du cou jusqu’à l’asphyxie complète.
Spirale tempétueuse s’enroulant serpentifère autour des couilles jusqu’à l’explosion éjaculante.
Des milliers de vers spermatozoïdaux crashés sur un tableau dalien en forme de seins.
Je digresse. Elles me font toujours cet effet. Du ver spermatozoïdal crashant sur leurs seins.
Voilà. Les femmes turbines qui pompent l’oxygène aux alentours, je leur trouve des charmes ouragans.
Peut-être parce qu’en soi je suis un anticyclone. Je chauffe à basses températures, et j’ai un besoin vital de l’effet inverse de la force de Coriolis.
Vous me direz les contraires s’attirent, et ce serait une vraie connerie. Sortant de ma bouche, c’est presqu’un compliment. Bien sûr cela n’a rien à voir. Encore une digression. Putain d’effet.