Doux doudou doudou doux
Puisque l’on vivra à jamais tous les deux
Puisque l’on est fous puisque nous sommes seuls
Et puisqu’ils sont si malheureux
Avec leur morale qui parle pour eux
J’aimerais quand même te l’écrire
Tout ce que j’ai pu dire
Je l’ai puisé à l’encre noire de mes yeux
J’ai vu que tu portes des chaînes
A trop te regarder j’ai remarqué les miennes
Nous n’avons jamais rêvé de venise et de ceux qui s’y noient
Nous n’avons jamais rêvé de vegas et de ce qui s’y joue
Nous n’avons jamais rêvé de paris et de cette tour de fer
Qui brille de mille feux au milieu de lucioles
Nous n’avons jamais rêvé de rome et de ces paters noster
Interpellant cupidon en confession sous la soutane
Dans la chapelle sixtine
Nous avons toujours rêvé de liberté
J’aimerais quand même te dire
Tout ce que j’ai pu écrire
C’est ton regard qui me l’a dicté
Doux doudou doudou doux
Tu viens contempler longtemps le soleil qui se couche
Lente descente au paradis loin derrière l’horizon
Tu viens t’asseoir près de moi du côté où
L’aube ne sera comme notre nuit blanche
Et si malgré ça j’arrive à t’oublier
J’aimerais quand même te l’écrire
Tout ce que j’ai pu dire
Je l’ai puisé à l’encre noire de mes yeux
Et il aura longtemps les rêves de notre liberté
Mais puisque l’on vivra à jamais tous les deux
Puisque l’on est fous puisque nous sommes seuls
Et puisqu’ils sont si malheureux
Avec leur morale qui parle d’eux
J’aimerais quand même te dire et te l’écrire
Tout ce que j’ai puisé à l’encre bleue de tes yeux
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