Tu n’as pas peur de la sodomie
Faut voir, faut que t’y goûte
Des explorations au profond du rectum
Des plongées un peu merdiques dans l’œil de bronze
Et peut-être que tout ira bien
Que tu te sentiras bien
Ta supplique à ma grande ourse
Et la trajectoire rectiligne
À l’instantané de velours
Enrubannée de gel translucide
Pour que tout soit de consistance molle
Même si quelques fois cela ne sert à rien
Le vent t’enculera
Tout disparaîtra
Dans tes fesses
Le vent t’enculera
La caresse et ma mitraillette
Cette ouverture qui m’avale
Le palais de la raie
Prince d’aujourd’hui
J’en fais mon versailles
Le vent t’enculera
Couilles sans bandoulière
Spermatozoïdes dans le rectum
Comme des taxis coincés dans un embouteillage
Comme des tapis volants tu dis ?
Ce parfum de troufignon dans l’atmosphère
Celui de ce moment où tu t’ouvres généreusement
Sans frapper à ta porte
Je te dévore
Du bout de la langue
Infinité de festin
Comme une galette des rois tu dis ?
Le vent t’enculera
Pendant que la marée monte
Et chacun lâche ses fauves
J’emmène dans tes abysses
Par ta rosette dilatée à l’infini
Au milieu de ta raie
Des poussières blanchâtres de moi
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