« Salut mon frère,
« Albert Londres les a observés, écoutés, il leur donne la parole.
Ça fait changement, nous sommes habitués de les juger. […]
S’informer sur un écran de la taille d’une souris, c’est regarder un long métrage par le trou de la serrure.
Le format original du récit, c’est le temps.
Cent pages, ce n’est rien et ça dure cent ans.
Le papier est l’avenir de l’information. »
– Luc Panneton, Cent ans, Prête-moi ton plume, vendredi 5 juillet 2019
– Voilà, pourquoi je resterai ton éternel Padawan. Tu dis en moins d’une page ce que nous autres verbeux disons en mille pages, moins d’une page égale mille pages je ne n’ai jamais été doué en maths (faut dire c’est comme toi et le p’tit jésus 🙂 j’ai rapidement abandonné le truc). Super texte mon frère, on marche avec et entre les mots, comme toujours avec toi 🙂
« Hey mon frère,
C’est magnifique comme texte, je l’ai lu en buvant un café bien corsé et une clope allumée, j’étais avec Albert et sa caméra-plume de cent pages. Comment arrives-tu à si bien retranscrire le substantiel, toute sa complexité, toute son authenticité?
Je n’ai jamais compris comment tu faisais, je me souviens, une salle de cours, un blogue qui me fait découvrir un Ailleurs Land duquel je ne suis jamais revenu. Comment fais-tu seulement ça?
Bref ne réponds pas tout de suite, je l’inscris à l’agenda du prochain G2 (« Yesterday » song + « Magical Luc » + Poulets + Blues et récits d’un Road Trip à la Kerouac », voilà, parfait, le bonheur s’en vient).
Ton frère. »
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