Errance(s) & Découverte(s) Blogue(s) Estivale(s)


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« The 1619 Project décortique l’histoire par le bout de ce qui s’est passé.
It is finally time to tell our story truthfully, dit l’intro. Comment les Britanniques ont broyé des millions d’hommes, de femmes et d’enfants d’Afrique pour la fortune des Blancs.
La chair noire, chair à coton.
L’objectif est le profit.
La terreur est la stratégie.
La haine, le carburant.
Je vais te battre, te fouetter, te violer, te tuer, extraire de ta vie le maximum d’argent.
L’esclavage est la première industrie américaine. Ses techniques de gestion ont ouvert des voies.
Les esclaves comme garantie hypothécaire.
La comptabilité systématique du rendement, ancêtre des métadonnées.
La brutalité de l’esclavage, modèle de Wall Street.
Quatre-vingt-dix-huit pages. Elles font autant mal que de bien.
Appliquez cette mentalité durant quatre cents ans et vous verrez, en 1961, 62, 63, 64, 65, 2019, des policiers armés assassiner des Noirs.
The 1619 Project est critiqué, entre autres, par des suprémacistes blancs.
Un suprémaciste est quelqu’un dont les mots sont aussi étroits que l’esprit. Comme épais physiquement et intellectuellement, de l’inénarrable René Goscinny, dans un Lucky Luke.
Des mots aux cheveux orange.
Sans les Noirs, les États-Unis seraient plates.
Sans le Blues et le Jazz, il y aurait plus de dope.
Sans les Premières Nations, il n’y aurait pas toute cette musique.
Les Premières Nations ont donné le « La », le rythme.
Les Noirs ont ajouté le blues et le jazz.
La est la note immatérielle de la cohésion sociale.
L’attachement à notre culture.
L’héritage. L’amitié.
Le bonheur de dire.
Or, pas un mot sur les Premières Nations dans The 1619 Project.
Noir ou Blanc, même nombril. »

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Une réflexion sur “Errance(s) & Découverte(s) Blogue(s) Estivale(s)

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