Luc sur « Joe Beef » : « Sérieux, lire des recettes comme un roman. J’en pisse dans ma salade »

« Salut mon frère,

Hier, j’ai commencé « Joe Beef, survivre à l’apocalypse », un magnifique cocktail d’alcool, de viandes et d’excès. Excès à l’envers donne sexe. Mais ça, tu le savais.

Luc »

« C’est la fin du monde tel que nous l’avons connu. Ou pas. Quoi qu’il en soit, vous aurez certainement envie d’avoir le livre Joe Beef : survivre à l’apocalypse dans votre bunker ou votre cuisine.

Dans leur premier ouvrage très apprécié, Frédéric Morin, David McMillan et Meredith Erickson ont initié les lecteurs à l’art de vivre selon Joe Beef. Ils nous proposent maintenant un autre livre très personnel, une collection rafraîchissante et sans prétention de 150 nouvelles recettes. Certaines figurent au menu des restaurants montréalais très réputés de Frédéric et David, d’autres sont inspirées des repas rassembleurs du dimanche soir à la maison ou des étés passés à la campagne autour des beaux lacs des Laurentides. Il suffit de penser à la Soupe au cresson avec quenelles de truite, aux Artichauts Bravas, au Flanc de cerf à la bière, aux Croquettes de viande fumée, aux Galettes Tater Tots ou aux Sticky buns à la courge pour avoir l’eau à la bouche.

Les auteurs offrent également des instructions pour faire son propre savon et des pastilles à l’épinette contre la toux de même que de précieux conseils pour remplir son cellier de préparations essentielles en temps d’apocalypse – Pains des coureurs des bois, Épaule de porc marinée, Vinaigre de cidre de pomme fumé – afin de pouvoir organiser dans son bunker le repas festif le plus couru en ville.

Ce livre, qui abonde en recettes, en réflexions et en divagations, est composé de chapitres qui traitent notamment de la tradition culinaire mohawk, du Noël des campeurs et de l’approche unique de Frédéric et David en matière de barbecue (Cassoulet vite fait, Burnt ends à la bourguignonne). On y trouve aussi quelques ruminations à propos du vin naturel et de la cuisine sans gluten de même qu’un texte qui explique pourquoi la cuisine française est idéale lorsqu’on veut servir un grand repas.

Que vous vous terriez à cause d’une apocalypse zombie ou pour le simple plaisir de cuisiner à la maison, ce livre vous apprendra à faire les choses par vous-même et à vivre – ou du moins à survivre – avec classe. »

JOE BEEF – SURVIVRE À L’APOCALYPSE

Plus qu’un autre livre de recettes

«  »Hey mon frère,

« Joe Beef, survivre à l’apocalypse », un magnifique cocktail d’alcool, de viandes et d’excès. Excès à l’envers donne sexe. Mais ça, tu le savais. » – hahahahahahahahahahahahahaha Luc tu es incroyable, je te jure. Je vais mettre le joe the beef aussi sur la liste d’août, franchement merci mon frère pour les suggestions, j’adore (« Mais ça, tu le savais » hahahahahaha). »

Photo Luc

« Hé mon frère,

David McMillan et Fred Morin sont des frères. Je ne les connais pas, c’est comme ça. Le jour où mes étudiants écriront comme eux, je prends ma retraite et je dis à tous je suis millionnaire. Sérieux, lire des recettes comme un roman. J’en pisse dans ma salade. Chez eux, les tord-boyaux ne se boivent pas, ils se lisent.

Amitiés
Luc »

« Comment survivre à une invasion de morts-vivants ou à l’hiver nucléaire ? Peut-être en se terrant dans un bunker ou au fond des bois, pas loin d’un petit lac, devant un sandwich à l’achigan accompagné d’un gin tonic au cèdre. Car, même après la fin du monde, la vie n’est pas obligée d’être plate. Dans leur nouveau livre, les acolytes de Joe Beef, Frédéric Morin, David McMillan et Meredith Erickson, parlent non sans esthétique ni humour de l’importance de retrouver notre autonomie dans le quotidien. Qu’il s’agisse de remplir un cellier, de confectionner du savon ou encore de préparer des pastilles pour la toux, le livre propose plein de trucs de débrouillards pour survivre avec style. Et en plus des nombreuses anecdotes, les auteurs donnent plusieurs recettes dont les ingrédients peuvent provenir autant de la forêt, des lacs et du fleuve que du fond de notre garde-manger avec quelques boîtes de conserve bien placées. Un très beau livre à feuilleter au coin du feu en se disant que demain, tout ira bien. »

Gwenaëlle Reyt

« Hey mon frère,

Lire des recettes (de cuisine) comme un roman c’est déjà parvenir à les voir comme elles sont : un roman.

Cela me fait penser à cet Autre – lors d’une dégustation de poulets ibériques – qui regardait des bâtisses et y voyait des textes, le même qui publie régulièrement des textes comme on accroche des cadres au mur, tu vois le genre d’esprit. Moi son éternel padawan, j’ai débuté par-là, par contre je crois qu’il soit loin de devenir millionnaire d’aussitôt 😜, je ne te parle même pas du fait qu’il puisse un jour prendre sa retraite 😅

Ton frère. »

« David McMillan est un personnage important du milieu de la restauration à Montréal. Copropriétaire et cofondateur des restaurants Joe Beef, Liverpool House, Vin Papillon et McKiernan Luncheonette, l’homme de près de 50 ans est reconnu pour ses opinions tranchées qui lui valent bien des louanges et de nombreuses critiques. Adoré ou pas, il est en grande partie responsable d’un empire de cinq restaurants, de la rédaction de deux livres, de la création de produits vendus en épiceries à travers le monde et de l’embauche de plus d’une centaine d’employés. Portrait d’un homme d’affaire atypique, surprenant et touchant. »

David McMillan : survivre à l’Apocalypse de la restauration

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