Luc sur Lévy-Beaulieu : « je n’ai vu aucun auteur d’ici ratisser comme ça. »

« Salut Ludewic,

Ce livre de Lévy-Beaulieu est écrit pour des cerveaux comme le tien. L’histoire en mène large, c’est une forme de saga en Irlande et ici. Lévy-Beaulieu maitrise les niveaux de langage à la perfection. Les mots sont parfois crus, on se croirait au Joe Beef. Blague à part, je n’ai vu aucun auteur d’ici ratisser comme ça. Dans un entretien à la radio, Dany Laferrière a dit à Lévy-Beaulieu qu’il devrait recevoir le Nobel de littérature. Lévy-Beaulieu a répondu que c’est la raison pour laquelle il écrit. Il est rare qu’on entende de tels propos ici. Ça fait du bien. Bref, tu me diras.

Luc »

Victor-Lévy Beaulieu raconte l’histoire de l’Irlande, analyse ses luxuriantes sagas, rend compte de la vie et de l’œuvre de James Joyce, celui qui, notamment dans Ulysse et Finnegans Wake, a, selon ses mots mêmes, envoyé coucher la langue anglaise. Véritable épopée se racontant dans une écriture somptueuse, James Joyce, l’Irlande, le Québec, les mots est sans conteste l’ouvrage majeur de Victor-Lévy Beaulieu.

« Hey mon frère, je l’ai déjà dans le panier le « James Joyce, l’Irlande, le Québec, les mots
Essai hilare ». Comme tous tes partages, je vais m’y plonger dès réception de l’œuvre. Et par mon expérience, je me suis toujours senti très enrichi après les lectures.

Il écrit pour le Nobel, et les mots sont parfois crus (comme du tartare ou du carpaccio de ‘beef’), coudonc, nous sommes deux 😅😜

Merci mille et une fois mon frère de ces découvertes livresques 💜🙏

Ton frère. »

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