Pour une ballade de l’im’possible

by dave
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« Haruki Murakami: The Magic of Simplicity – With elegant prose, Haruki Murakami conjures magical worlds overlaying ours. Murakami’s style of magical realism uses simple language to express feelings of loneliness and nostalgia. »
« Haruki Murakami interview (English). BBC 45′ radio doc reveals writing methods. – In 2000 producer Matt Thompson travelled to Tokyo to interview the reclusive author Murakami for an extended BBC Radio 3 profile. The 45′ documentary has been a fascinating source of inspiration for those who love his odd fables and want to find out something of the process behind them. His books sell by the millions but traditionalists don’t care for his shallow and flashy protagonists who mimic the attitudes of Chandler’s hard boiled Philip Marlowe and find the answers in sex, men dressed as sheep, and bizarre lumber rooms of the subconcious. ‘The Wind up Bird Chronicle’ took Murakami’s dissaffected anti-hero into the unpopular territory of Japan’s past. ‘Underground’, Murakami’s account of the Tokyo Gas Attack, analysed how a guru hijacked ordinary people’s own stories and replaced them with fantasies, something he thinks society itself does. Can the virtuoso storyteller Murakami help readers find themselves? And why does he feel responsible for the dead people he has known? With Jungian Prof. Hayao Kawai, Kawasaki Kenko and Prof. Motoyuki Shibata. »
« Haruki Murakami: A Search for Meaning – In this video I will discuss the Japanese novelist, Haruki Murakami’s writing style and storytelling techniques. Haruki Murakami has been writing for 40 years. Non-stop. If writing is a battle, Murakami is a very disciplined, regimented and successful soldier. His themes are wide-ranging from suicide, water well, death, consciousness, love, loss of mother or lover, and life’s choices. »
by dave

Maître C (« Dans sa bibliothèque, et sa présence… ») :

Je lisais et relisais mes livres, et, fermant les yeux de temps en temps, j’aspirais profondément leur odeur. D’ailleurs, le seul fait de respirer l’odeur d’un livre et d’en feuilleter les pages me rendait heureux.

– extrait (partagé) de La Ballade de l’impossible (par Haruki Murakami)

« Tokyo, fin des années 60. Kizuki, le meilleur ami de Watanabe, s’est suicidé. Watanabe quitte alors la ville de Kobe et s’installe à Tokyo pour commencer ses études universitaires. Alors qu’un peu partout, les étudiants se révoltent contre les institution, la vie de Watanabe est à nouveau bouleversée quand Il retrouve par hasard l’ancienne petite amie de Kizuki, la mystérieuse Naoko… »
« Haruki Murakami – Quotes that will change the way you think | Life Changing Quotes – Haruki Murakami is a Japanese writer. His novels, essays, and short stories have been bestsellers in Japan as well as internationally, with his work translated into 50 languages and selling millions of copies outside Japan. »
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Très cher C,

J’espère que tu vas bien. Merci de ce partage qui – selon moi – a moins des odeurs ( = émanations) que le parfum ( = odeur / substance agréable) de ce qui nous rend heureux / heureuse. Je le savoure (comme on en jouit pleinement), et je ne pose pas la question de savoir si cela me rend heureux ( = jouissance du bonheur) mais simplement je vis cet instant dans tout ce qu’il m’offre et qui définit ce moment de fin de soirée. Merci (mille et une fois) pour cela

Murakami, cet écrivain dit professionnel (même si et je m‘en excuse Maître j’ignore ce que cela veut dire – la « professionnalisation » des arts échappe à mon insignifiant entendement), qui bûche ses écrits ou son écriture (d’après ce que j’en ai appris de lui il y a quelques mois) comme presque un forcené (il – semble t-il – n’a pas le plume facile comme d’autres), qui semble avoir une certaine aversion pour le « gras » (ce qui n’est pas de mon point de vue la même chose que l’excès ou le « trop« ) ou l’addiction (même s’il est lui-même un « addict » d’un esthétisme que des esprits légitimement pourraient qualifier de « fascisant« ), cet écrivain donc, si talentueux qui aiment courir à fond ou est un adepte de course de fond, nous livre sa jouissance du parfum de ses livres. Pour ma part, marcheur (très lent) de mon état, j’ai dans ma modeste bibliothèque des papyrus numériques qui ont le parfum de l’authenticité (évaluation subjective hautement discutable j’en conviens), je les feuillette si souvent comme un retour à l’humaineté voire comme un besoin-désir de respirer un air frais, cela me fait le plus grand bien – j’ignore si cela est convenable (ou la même chose que des livres « en chair et en os »)

La Ballade de l’impossible, je n’ai pas lu mais je vais voyager (du / pour le moins je le souhaite) dans l’imaginaire (multi / pluri dimensionnel) de ce plume professionnel, et on verra bien C

Prends soin de toi et des tiens, Maître nous y tenons toutes et tous

by dave
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