
La nature, chœur d’oiseaux, la musique des vagues sous les caresses du vent, les bruits humains, sur une scène ouverte (celle du paysage), les rythmes lents du ciel et ses nuages-paréidolies, les œuvres de l’esprit et les aveux du corps en formes fixes évanescentes irrégulières synchrones synchronisées chronospiralées cronosphères, une horloge aux heures du souvenir soutient un pont de modernité qui se jette d’un lieu à un autre et des (im)perceptions le traversant que l’on observe contraires et dans un sens partagé, sous le pont une roue qui attend le bon moment pour tourner et faire tourner les têtes, en face d’un quai qui en a vu et connu des départs et des arrivées et des transits, un autre pont pas comme un pont une traverse en hauteur sans le vertige, de l’eau sous les pieds et les yeux dans ces et ses eaux, les architectures de l’existence un manège ou un biodôme ou une biosphère ou un biodômesphère, des navires qui fendent la surface liquide comme des aéronefs dans l’air – et d’un regard terre – tracent d’éphémères sentiers, et toutes ces choses qui ne sont pas que chose – solo(s) ensemble comme de concert.. De concert.. Concert–ô-beau
.. moment présent d’une dominicale printanière, in-s-temps matinal, la rencontre entre un chœur d’oiseaux, le mouvement symphonique des nuages, les cieux en couleurs presque (im)perceptiblement nuancées, et le » « quiet ressource » « du catfish music group. Un moment comme il n’est pas toujours attendu de vivre, ainsi de se souvenir – en pleine nature urbaine – ce qu’est :







