Cette société liquide que je n’ai eue de cesse d’écumer
Dont tous les chemins de nos errances m’ont ramené
A toi qui règne dans mon univers lunatique
Pardon pour ces vers maladroits
Pardon pour ces strophes insipides
L’amour que je te porte, étoile de mes nuits
Mérite des rimes moins en bataille
Mais elles portent le frémissement
De mon esprit à chaque fois que dans un bruit
Je crois entendre ton murmure
Mon cœur est comme une faille
Celle de San Andreas
Qui ne demande qu’à être remplir de toi
Tout de toi
Tout toi
Que reste-t-il de moi sans toi
Des lendemains comme
Les cadavres que l’on met en terre..