La faille de San Andreas

Cette société liquide que je n’ai eue de cesse d’écumer

Dont tous les chemins de nos errances m’ont ramené

A toi qui règne dans mon univers lunatique

Pardon pour ces vers maladroits

Pardon pour ces strophes insipides

L’amour que je te porte, étoile de mes nuits

Mérite des rimes moins en bataille

Mais elles portent le frémissement

De mon esprit à chaque fois que dans un bruit

Je crois entendre ton murmure

Mon cœur est comme une faille

Celle de San Andreas

Qui ne demande qu’à être remplir de toi

Tout de toi

Tout toi

Que reste-t-il de moi sans toi

Des lendemains comme

Les cadavres que l’on met en terre..

Un site Web propulsé par WordPress.com.